Démontage du capteur AirParif : Une chaîne humaine pour s’opposer au départ (Le Parisien)

juillet 26, 2013 dans Revue de presse, Votre ville

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Issy-les-Moulineaux, hier soir. Les militants des Amis de la Terre, Issy Écologie, Val de Seine Vert, Actevi et le parti Europe Ecologie-les Verts ont formé une chaîne humaine symbolique (L.P.J.Va.)

L’action était symbolique, « Nous ne nous enchaînerons pas toute la nuit, pour empêcher le démontage de la station de mesure de pollution. Mais nous voulions marquer notre désaccord, montrer que tout cela est scandaleux », explique la section parisienne…

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Retour sur la manifestation pour le maintien du capteur Airparif

juillet 25, 2013 dans Votre ville

Plusieurs militants des Amis de la Terre, d’ACTEVI et d’EELV manifestaient ce jour contre la suppression du capteur de qualité de l’air situé dans le square Weiden à Issy-les-Moulineaux. Rejoints par le sénateur écologiste André Gattolin, ils ont pu manifester leur agacement face à l’attitude de la ville.

« Le site de la ville affiche une alerte de pollution à l’ozone, citant une mesure d’Airparif. De qui se moque-t-on ? », fulmine une militante.

Réponse au problème de la taille de l’abri, l’association Airparif a par ailleurs indiqué que l’installation pourrait ne plus occuper que trois mètres carrés, au lieu de six actuellement.

Airparif : Lutter contre la pollution ou casser le thermomètre, il faut choisir !

juin 17, 2013 dans Communiqués, Votre ville

Le groupe local EELV d’Issy-les-Moulineaux regrette le départ de la balise d’Airparif installée depuis 20 ans sur le site du square Weiden, et fustige l’attitude absurde du maire André Santini, qui circule lui-même dans une voiture surdimensionnée à la consommation de 17l/100km, aux frais du contribuable isséen.
 
Que cherche à cacher M. Santini en cassant le thermomètre ? Aurait-il mauvaise conscience de ses choix d’aménagement de la ville au profit du tout-voiture ?
 
Aucune tour dans cette ville ne se construit sans parkings. Les anglais, eux, y arrivent pourtant :

 
• de l’aveu de Bouygues Immobilier, 30% des places de parking situées sous la tour Sequana sont inoccupées… alors que la tour Shard à Londres ne compte qu’une quarantaine de places de parking, dévolues aux livraisons et aux personnes à mobilité réduite exclusivement ;
 
• les études initiales prévoyaient 2,1 places de parking par foyer au Fort d’Issy, avant que le chiffre définitif soit ramené à 1 place par foyer, ce qui reste excessif.
 
Les écologistes isséens rappellent à cette occasion leur opposition au projet absurde de réaménagement de la RD7, d’autant plus absurde considérant sa concomitance avec la fermeture des voies sur berges à Paris, et la baisse constatée du traffic.
 
Cet urbanisme de promoteurs qui programme la construction prochaine de 3 tours de bureaux au Pont d’Issy, et pourquoi pas bientôt d’autres tours de très grande hauteur, à la place de l’ancien Hôtel Pullman ou encore au Centre Ville, contribue également à saturer la ville en voitures.
 
Au lieu d’ajouter aux rejets polluants de l’usine d’incinération Isséanne des sources nouvelles de dégradation de la qualité de l’air, la ville devrait tout faire pour lutter contre la pollution et préserver la santé des isséens.
 

Issy ne veut plus de son capteur (Le Parisien)

février 6, 2013 dans Revue de presse, Votre ville

 

Situé dans un square d’Issy-les-Moulineaux, le capteur d’Airparif mesurant la pollution de fond de l’air parisien devrait finalement quitter la commune à la fin de l’année. Après plusieurs années de procès avec la Ville, Airparif préfère jeter l’éponge : « Comme le maire est maître de ses terrains et que nous utilisons un local de la Ville, nous serons probablement condamnés.
Même si c’est un tout petit capteur bien caché. Si tout le monde fait pareil, où allons-nous nous installer? Et comment les Franciliens pourront-ils évaluer l’air qu’ils respirent? » s’interroge Jean-Félix Bernard, président d’Airparif. Le déplacement coûtera toutefois à l’association plus de 100000 €, en frais d’études pour trouver un nouveau site, tests de validation et travaux d’installation.

Depuis 2009, André Santini, le maire (UDI), veut se débarrasser d’un capteur qui donne une « mauvaise image » d’une commune qui se veut une vitrine du développement durable.

Le groupe local d’Europe Ecologie – les Verts regrette que « ce genre de bêtises mobilise une énergie considérable au détriment de la qualité de vie des Isséens ».