ZAC Pont d’Issy : EELV s’engage à consulter les isséen-ne-s par référendum

octobre 22, 2013 dans Communiqués, Election municipale 2014

Issy-les-Moulineaux, le 22 octobre 2013.

Nous, écologistes isséens,

Soucieux d’un urbanisme éthique respectueux du cadre de vie et de l’environnement ;

Considérant que la priorité à Issy-les-Moulineaux doit être la construction de logements réversibles ;

Considérant les espaces verts comme indispensables à la qualité de vie des habitants et des salariés présents dans la ville ;

Considérant que la ville doit envisager les grands projets comme un ensemble et non fuir la responsabilité et les séparant en parcelles distinctes ;

Nous engageons, en l’application de l’alinéa second de l’article 72-1 de la constitution, à mettre en œuvre une consultation des isséen-ne-s par voie de référendum local sur le projet de la ZAC Pont d’Issy dès le début de la prochaine mandature.

Contribution de Didier Hervo à l’enquête publique sur la tour IMEFA 52

octobre 22, 2013 dans Votre ville

Le dossier proposé ne constitue aucunement  un véritable projet urbain, il présente un objet démesuré posé sur une petite parcelle sans tenir compte des projets voisins. Il ne libère pas d’espace, seul intérêt d’une tour. Nous n’avons toujours pas de justification de cette hauteur de 188,64 mètres, s’agit-il d’un optimum technique, économique ? Ce que reconnaît explicitement la DRIEE IDF : « Le pétitionnaire aurait dû consacrer une part plus importante à la justification du projet retenu dans l’étude d’impact. »

 

Le projet d’un quatrième immeuble de bureaux non IGH sur l’îlot A contredit l’intérêt de construire en hauteur : pourquoi pas une quatrième tour ? Le premier projet de deux tours en une libérant de l’espace au profit d’espaces verts et de logements avait un semblant de justification. Celui-ci n’en a aucun.

L’étude d’impact le dit elle-même page 135 : « …la verticalisation permettant notamment de dégager des espaces libres important au sol » Alors que le projet le contredit en faisant l’inverse, élever pour mieux densifier ! C’est la perversion de la seule utilité des tours !

 

Plus une tour est haute et plus il faut d’ascenseurs qui consomment de l’énergie et de l’espace : le plan d’un plateau montre l’importance du noyau central au détriment des espaces de travail, réduisant le nombre de bureaux en premier jour et augmentant les besoins en éclairage artificiel. Construire haut à prix d’or pour réduire l’espace utile est un non-sens.

La ZAC dans laquelle se situe cette tour en comprend deux autres, tout aussi injustifiées. Quels rapports IMEFA entend-elle entretenir avec ses futures voisines ? La présente étude n’en dit mot.

Nous avons affaire à trois opérations immobilières distinctes, alors qu’il fallait concevoir un vrai quartier équilibré avec plus de logements et beaucoup moins de bureaux.

Est-ce vraiment une ZAC ou trois projets séparés, concurrents, qui densifient pour le seul profit des promoteurs ? Où est l’architecte urbaniste coordonateur de ces projets ?

« A ce jour, les projets de construction sur les autres îlots de la ZAC ne sont pas connus. » dit l’étude d’impact : bel exemple de coordination dans l’aménagement d’une ZAC !

 

Concernant les places de parking et les déplacements

Le projet prévoit 578 places de parking. « Le stationnement à destination est un déterminant du choix modal. »  La seule réponse vraiment écologique que peut apporter une tour, qui ne l’est pas dans sa structure et son fonctionnement, est de supprimer les parkings auto, ainsi que l’a fait Londres avec la 30 St Mary Axe Tower de N. Foster, haute de 180 m ne comportant que 18 places de parking et la London Bridge Tower « Shard of Glass » de R. Piano qui n’offre que 42 places pour 306 mètres et 10 000 occupants.

La ville de Zurich interdit purement et simplement la mise à disposition de parking sur les lieux de travail.

 

On ne parle pas dans cette étude de plan de déplacements inter entreprises, c’eût été la moindre des choses !

 

Réduire l’offre de parkings en ville permet de réduire aussi l’espace viaire dévolu à l’automobile au profit des transports en commun en site propre et des vélos. Ainsi une ligne TCSP sur la RD 7 trouverait tout son sens. La station la plus proche de la future ligne 15 se trouvera à 800 mètres…

Malheureusement, compte tenu de la démesure du projet et celle de ses voisins, auxquels devraient s’ajouter une quatrième tour rue Guynemer, la tour Triangle à la Porte de Versailles, 70 000 mètres carrés de bureaux supplémentaires au centre-ville, le ministère de la défense et des bureaux à Balard, c’est tout ce secteur que l’on menace de congestion et les transports en commun de sur saturation.

L’exemple du Fort d’Issy et de ses 1600 nouveaux logement est pourtant là pour démontrer que l’on ne peut parachuter une telle opération dans un réseau viaire contraint et non extensible.

 

 

 

Sur la non mixité fonctionnelle

Avoir des bureaux et des logements dans un même  immeuble ou à proximité permet de mutualiser les besoins thermiques des uns et des autres qui ne sont pas les mêmes et pas au même moment : les bureaux ont besoin de fraîcheur le jour et les logements de chaleur le soir, ce qui les rend thermiquement compatibles et permet des économies. (Docks de Saint-Ouen, le Vérose et le Polychrome à Lille). Rien de tout cela ici, rien que des tours de bureaux !

 

Sur la non mutabilité

Une telle tour de bureaux n’est pas mutable, on ne pourra, si la « conjoncture » le demande, transformer les bureaux en logements, contrairement aux incitations actuelles et aux pratiques qui ont déjà cours dans d’autres villes.

 

La vraie modernité urbaine, ce sont des projets librement et longuement débattus avec les habitants, des bâtiments de hauteurs modérées, mixtes fonctionnellement et socialement, à énergie positive, (obligatoires après 2020) des quartiers vivants, animés, pourvus d’espaces verts, d’espaces de rencontre, de salles de réunion ouvertes à tous ! Pas des tours !

 

Le SDRIF  précise que « La densification du bâti, qu’il s’agisse de logements, d’activités ou d’équipements devra rester globalement modérée. » Ce qui a dû échapper aux promoteurs…

 

A propos d’Isséane et des hélicoptères

L’étude d’impact, page 179, prétend qu’en cas de vent de Sud-Ouest, « La présence de la tour va entraîner la formation d’un panache plus large avec une plus faible concentration en polluants. » On apprend dans le même temps que la tour aura peu d’effets sur les émissions de l’usine et qu’elle peut même améliorer les choses ! On a quelque mal à le croire. Comme on a du mal à croire à cette autre affirmation : « La tour  IMEFA contribuera globalement à l’amélioration de la qualité de l’air en Région Parisienne.» Sans doute en augmentant le trafic routier et sa congestion. Ce type d’affirmation décrédibilise l’ensemble de l’étude d’impact.

L’absence de cheminée sur Isséane pose déjà des problèmes de dispersion des polluants puisque les bâtiments actuels n’étaient pas prévus, EOS Générali en particulier.

La construction de tours si proches de l’usine ne pourra que les renforcer.

Quant aux hélicos, la demande de la DGAC de modifier les couloirs d’atterrissage et de décollage des aéronefs vers et depuis l’héliport de Paris-Issy va entraîner le survol de zones habitées. Une nouvelle enquête s’impose. Faudra-t-il exproprier ? Les tours n’aiment décidément pas les logements ! On ne peut pas tout avoir, ce sera ou les tours ou les hélicos, il faudra choisir.

 

En matière d’énergie

La tour semble sur ce plan bientôt obsolète puisque la future Réglementation Thermique 2020 applicable au premier janvier 2021 imposera le recours au photovoltaïque pour pouvoir répondre aux normes BEPOS. (Bâtiment à Energie POSitive) Le projet ne fait pas appel à cette technique et propose quelques capteurs thermiques pour l’eau chaude du restaurant et cinq éoliennes à axe vertical type Darrieus  pour une puissance très modeste, trop modeste pour répondre significativement aux énormes besoins de ce type de bâtiment. Le projet est ridiculement faible en matière d’énergies renouvelables

Proposer un projet dépassé est une curieuse façon de s’inscrire dans l’avenir.

Issy l’audacieuse ?

Le système d’aspiration des déchets prévu consomme beaucoup d’énergie et pose déjà des problèmes de fonctionnement tel qu’il est conçu au Fort. Qui va payer pour ce système, la collectivité ou les promoteurs ?

 

 

La tour et son environnement

Remarquable aveu page 205 où l’on apprend que l’on va recréer à Issy des conditions d’inconfort aérauliques constatées à la Défense ! Le décor est planté, si le but de l’opération est de se comparer à la Défense, c’est gagné, on s’y croit déjà. Les plantations prévues pourraient ne pas suffire à remédier à ces désagréments. La police, lors d’une réunion de feu l’atelier d’urbanisme, avait émis le souhait qu’il n’y ait pas de plantation en hauteur, des délinquants pouvant en profiter pour s’y dissimuler. Qui va l’emporter ? Autant en emporte le vent.

Concernant les problèmes aérauliques et  la génération d’ombre, ce sont les effets cumulés de toutes les tours qu’il convient d’étudier et non ceux de la seule IMEFA prise isolément.

 

On a la confirmation que la tour constituera un gigantesque piège pour les oiseaux, d’autant plus que degré de réflexion du verre utilisé sera important. En ajoutant les éoliennes qui se chargeront elles des chauves-souris, on atteint au sublime quant au caractère éco-friendly du projet ! Tours et écologie ne feront jamais bon ménage.

 

Le socle de la tour est massif, sa hauteur et son emprise au sol contredisent une nouvelle fois le prétendu rôle d’une tour qui devrait libérer de l’espace à son pied. Il n’y a donc pas de retrait est les trottoirs quai Roosevelt et rue Rouget de Lisle sont réduits à leur strict minimum.

 

Les Espaces dans ce socle seront-ils tous ouverts au public ? Les activités initialement prévues dans les halles viendront-elles y trouver refuge ?  Quel sera alors le devenir de ces halles ? Devront-elles disparaître pour laisser place à la troisième tour ? Autant de questions sans réponse.

 

Sur la démocratie

Force est de constater une nouvelle fois l’absence totale d’information et de concertation pour un projet de cette importance. Ce sont les promoteurs qui décident et les habitants n’ont eu droit qu’à un maigre encart coincé entre une nécrologie et une publicité dans le journal municipal qui ne manque pourtant pas de pages. Et pas de réunion publique pour présenter et discuter le projet.

L’exacte démarche inverse de celle suivie pour la ZAC Pajol à Paris où l’on prévoyait la destruction de la halle et la construction de trop nombreux bureaux. L’action des associations puis la concertation s’étendant sur des années ont  permis d’aboutir à la conservation de la halle, la diminution des bureaux, la création de larges espaces publics, le tout couronné par la plus grande centrale photovoltaïque urbaine de France. (Arch. Françoise Hélène Jourda)

 

La région Ile-de-France compte 3,8 millions de mètres carrés de bureaux vacants. Faut-il en rajouter, tout en contredisant le SDRIF qui prône la modération en ce domaine tout en demandant un rééquilibrage au profit de l’est parisien ?

 

Issy-les-Moulineaux compte déjà plus d’emplois que d’habitants. Renforcer ce déséquilibre ne peut que créer de nouveaux problèmes de déplacement en ne répondant pas au premier besoin urbain actuel qui est de pouvoir se loger pour un prix abordable.

 

Notre ville doit retrouver la raison.

 

Didier Hervo.

Issy-les-Moulineaux : la gène d’un maire anti-mariage pour tous (Yagg)

octobre 14, 2013 dans Revue de presse, Votre ville

Un article paru sur Le Plus Nouvel Ob’s, sur Mediapart et sur le site Yagg où il a figuré à la une, revient sur la gêne du maire sur les questions relatives aux mariages, que vous évoquions suite à de précédents conseils municipaux.

La ville d’Issy-les-Moulineaux est administrée depuis 33 ans par un des ténors de la vie politique française : M. André Santini. Plus connu pour ses « bons mots » que pour son travail de Ministre, Député ou Maire, l’élu est bien embêté en ce moment par son opposition écologiste.

Après une prise de position très banale pour un membre de l’opposition de droite lors du débat sur le mariage pour tous, les écologistes isséens, la loi étant votée, ont voulu s’assurer du respect de celle-ci dans l’avenir des célébrations maritales de leur ville.

Comme le rappellent les écologistes dans un communiqué : plusieurs fois sollicité par la presse, [Monsieur Santini] n’a jamais accepté de clarifier son positionnement, qu’il s’agisse de la célébration des mariages, de l’adoption ou de la PMA.

Ainsi, en Conseil municipal du 4 juillet dernier, une question était posée par Didier Hervo (écologiste) afin de s’assurer du bon traitement de ces mariages futurs dans leur cité. Gène du Maire, réponse procédurale, départ du Maire avant la fin du Conseil, l’opposition constate alors l’incapacité de franchise sur ce sujet de la part d’André Santini. EELV informe alors les citoyens par un communiqué sur leur site relatant ce rocambolesque bottage en touche, mais décide de ne pas en rester là, comme le précise Serge Brière, responsable local de ce parti.

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Grands projets à Issy : réaction des écologistes

octobre 12, 2013 dans Votre ville

Face à cette multiplication de projets d’envergure, les oppositions de gauche protestent. Fin septembre, le collectif Issy Sans Défense composé des militants d’EELV, de Val de Seine Vert, d’Issy l’Ecologie ainsi que du conseiller municipal écologiste s’est rassemblé contre ces grands projets : « On veut encore construire des tours de bureaux alors que le Val de Seine manque de commerces. On diminue le nombre de logements parce que la région veut s’installer dans le cœur de ville. Que fait-on si elle ne vient pas? Il manque une vision globale d’Issy, où l’on ramènera de la vie et de l’humain, y compris le soir, où on repensera la circulation, etc. », estime Serge Brière, responsable d’EELV. Pour le candidat PS, Thomas Puijalon, « Le pharaon voulait ses pyramides, André Santini veut ses tours! Je ne comprends pas cette frénésie. Issy a besoin d’une respiration. Les gens en ont marre des travaux permanents, des bouchons, de la saturation des transports ». Le socialiste ajoute que « les habitants sont informés au compte-gouttes, sans être consultés. C’est une conception de la politique ancestrale qui doit changer. Il faut un moratoire sur les constructions et une vraie concertation des Isséens ».

 

« Issy-les-moulineaux. Plusieurs grands chantiers vont être lancés. La commune poursuit sa mutation » (extrait), paru dans Le Parisien Hauts-de-Seine du 10 octobre 2013.

Un nouveau collectif contre les gratte-ciel (Le Parisien)

septembre 25, 2013 dans Revue de presse, Votre ville

REVUE DE PRESSE

Issy-les-moulineaux. Urbanisme
Un nouveau collectif contre les gratte-ciel

Pas de tours dans la ville : à l’approche des municipales, l’opposition se cristallise autour des projets immobiliers de la municipalité d’Issy-les-Moulineaux. Notamment la construction de trois gratte-ciel au Pont d’Issy, qui pourraient s’élever d’ici à 2020 à plus de 150 m de haut, de chaque côté du pont qui enjambe la Seine vers Boulogne-Billancourt.

Des militants de Val de Seine Vert, d’Issy l’Ecologie, d’Europe-Ecologie – Les Verts (EELV), ainsi que le conseiller municipal écologiste Didier Hervo, ont décidé de lancer le collectif « Issy Sans Défense ». Sa première réunion publique, la semaine dernière, a réuni une trentaine d’habitants de la ville.

Objectif avoué : les élections municipales

« C’est la première pierre du rassemblement en vue des municipales », explique Serge Brière, responsable EELV local. En jeu, la constitution d’une liste commune autour d’une plateforme de thèmes rassembleurs, à commencer par le refus de la densification voulue par le maire sortant, l’UDI André Santini. Visés, les immeubles de grande hauteur, qui dépasseraient les 20 étages. Comme les tours du Pont d’Issy, mais aussi la tour « bioclimatique » envisagée rue Guynemer. Les opposants gardent également un œil vigilant sur l’aménagement du centre-ville. La liste, qui compte déjà 25 membres (sur 49) et s’attend au ralliement d’autres organisations locales, s’appuiera sur une charte qui prône notamment le respect de l’équilibre bureaux-logements.

P.A.

(Article paru dans Le Parisien Hauts-de-Seine, édition du 24 septembre 2013)

ZAC centre-ville et Conseil régional : les écologistes réagissent

septembre 21, 2013 dans Revue de presse, Votre ville

Issy-les-Moulineaux. En centre-ville et sur la Zac du Pont d’Issy

La ville espère accueillir les nouveaux bureaux de la région

Pour son déménagement annoncé, la Région va-t-elle jeter son dévolu sur Issy-les-Moulineaux? Dans une lettre du 11 septembre, Jean-Paul Huchon, le président (PS) du Conseil régional, a informé le maire (UDI) André Santini qu’il envisageait de regrouper ses implantations actuelles « sur un nouveau site unique afin de rationaliser son organisation et moderniser les conditions de travail des élus et de l’administration ». Avec pas moins de deux sites — sur les 9 actuellement à l’étude — envisagés sur son territoire, dans la Zac du Pont-d’Issy et dans celle du Cœur de ville, Issy espère bien remporter la mise. Et ne cache pas ses préférences pour cette seconde option, qui viendrait conforter le projet d’aménagement qu’elle prépare depuis 2010 pour ce vaste emplacement en plein centre-ville.

Ce terrain de 3 ha, occupé par des immeubles de bureaux et un grand parking, devrait se libérer au premier semestre 2016 avec le départ des salariés d’Orange Labs, le département recherche et développement de l’opérateur : ils vont quitter leurs 45000 m2 de locaux pour déménager à Châtillon où le groupe va réunir ses services sur un vaste campus. « Le site est idéalement placé entre deux stations de métro, Corentin-Celton et Mairie-d’Issy, vante l’adjoint délégué à l’urbanisme, Christophe Provot, qui se prépare déjà à « revoir les objectifs d’aménagement pour signifier à la région que nous sommes prêts à l’accueillir ». Sur le site, qui appartient à la Caisse des Dépôts, la ville souhaitait déjà garder des bureaux, construire des logements, et surtout voir s’édifier un grand pôle commercial, d’ailleurs réclamé par les habitants lors de la concertation menée ce printemps. « L’arrivée du conseil régional donnerait les moyens à la Caisse des dépôts de le financer », se réjouit déjà l’élu.

Mais la nouvelle, hier, ne faisait pas que des heureux : les premiers projets d’aménagement du quartier avaient suscité des réserves, notamment des Verts qui trouvaient qu’il n’y avait pas assez de logements. La région a d’ores et déjà annoncé ses besoins : entre 60000 et 75000 m2 de bureaux. Pas sûr qu’il reste beaucoup de place…

P.A.

(Article paru dans Le Parisien Hauts-de-Seine, édition du 20 septembre 2013.)

Réunion publique : les tours menacent-elles Issy ?

septembre 17, 2013 dans Votre ville

Quelle densification voulons-nous ? Comment bâtir une ville durable ? Pourquoi s’obstiner à construire des tours ?

C’est à cet ensemble de questions, entre autres, que nous tenterons de répondre lors d’une réunion publique, organisée par le collectif « Issy Sans Défense », en présence de Thierry PAQUOT, Professeur à l’Université Paris Est Créteil, Françoise-Hélène JOURDA, architecte, et Didier HERVO, conseiller municipal écologiste à Issy-les-Moulineaux.

Cette réunion, à laquelle vous êtes chaleureusement invités, se tiendra :

Mercredi 18 septembre 2013, à 20H00,
Salle attenante au café « Le Stella », 5 Rue Henri Mayer à Issy-les-Moulineaux, métro Corentin Celton.

 

Prochain conseil municipal le 3 octobre 2013

septembre 10, 2013 dans Votre ville

La prochaine séance du Conseil municipal d’Issy-les-Moulineaux a lieu jeudi 3 octobre, à 18h30 à l’Hôtel de Ville.

Les séances sont publiques et ouvertes à tous les habitants.

Seront entre autres abordées les questions de circulations, d’urbanisme, …

Démontage du capteur AirParif : Une chaîne humaine pour s’opposer au départ (Le Parisien)

juillet 26, 2013 dans Revue de presse, Votre ville

ChaineHumaineAirparif

Issy-les-Moulineaux, hier soir. Les militants des Amis de la Terre, Issy Écologie, Val de Seine Vert, Actevi et le parti Europe Ecologie-les Verts ont formé une chaîne humaine symbolique (L.P.J.Va.)

L’action était symbolique, « Nous ne nous enchaînerons pas toute la nuit, pour empêcher le démontage de la station de mesure de pollution. Mais nous voulions marquer notre désaccord, montrer que tout cela est scandaleux », explique la section parisienne…

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Retour sur la manifestation pour le maintien du capteur Airparif

juillet 25, 2013 dans Votre ville

Plusieurs militants des Amis de la Terre, d’ACTEVI et d’EELV manifestaient ce jour contre la suppression du capteur de qualité de l’air situé dans le square Weiden à Issy-les-Moulineaux. Rejoints par le sénateur écologiste André Gattolin, ils ont pu manifester leur agacement face à l’attitude de la ville.

« Le site de la ville affiche une alerte de pollution à l’ozone, citant une mesure d’Airparif. De qui se moque-t-on ? », fulmine une militante.

Réponse au problème de la taille de l’abri, l’association Airparif a par ailleurs indiqué que l’installation pourrait ne plus occuper que trois mètres carrés, au lieu de six actuellement.